
SELAH’S BEAM
Projet théorique de recherches pour une arène de spectacle autonome
DATE : Septembre 2019 - Janvier 2020
LIEU : Paris, FR
CADRE : Master à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Belleville
DIRECTEUR D’ÉTUDES : Aghis Pangalos (architecte)
SITE PROJET : Marfa, Texas, US
STATUT : Terminé
REMERCIEMENTS : Hybrid Futures, UNI, Equascience
Aux États-Unis, le citoyen moyen produit 773 kilos de déchets domestiquespar an. Seulement un tiers de ce volume est recyclable.
[Le projet suivant est théorique, mais repose sur une combinaison de technologies existantes].
À Marfa, une petite ville du désert texan, les déchets ramassés dans les rues sont transportés jusqu'à une station de traitement. Ce qui n'est pas recyclable est placé dans des cuves de fermentation appelées "bio-réacteurs". La décomposition des déchets produit ainsi de l'hydrogène qui alimente plusieurs dizaines de totems massifs.
Ces derniers abritent des piles à combustibles capables de transformer l’hydrogène en eau et en électricité par une réaction d’électrolyse.
L'eau produite est pulvérisée en un épais nuage de vapeur d'eau en suspension, dont chaque gouttelettes devient support de projection.
L'électricité alimente, quant à elle, des projecteurs à balayage créant ainsi des hologrammes géants qui flottent dans le nuage.
Durant trois jours et trois nuits par an, “le nuage” apparaît, attirant des spectateurs du monde entier venant s’allonger dans le sable du désert pour profiter du spectacle, ou se tenant à distance pour contempler ce nuage tombé du ciel.
DATE : Septembre 2019 - Janvier 2020
LIEU : Paris, FR
CADRE : Master à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Belleville
DIRECTEUR D’ÉTUDES : Aghis Pangalos (architecte)
SITE PROJET : Marfa, Texas, US
STATUT : Terminé
REMERCIEMENTS : Hybrid Futures, UNI, Equascience
LIEU : Paris, FR
CADRE : Master à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Belleville
DIRECTEUR D’ÉTUDES : Aghis Pangalos (architecte)
SITE PROJET : Marfa, Texas, US
STATUT : Terminé
REMERCIEMENTS : Hybrid Futures, UNI, Equascience
Aux États-Unis, le citoyen moyen produit 773 kilos de déchets domestiquespar an. Seulement un tiers de ce volume est recyclable.
[Le projet suivant est théorique, mais repose sur une combinaison de technologies existantes]. À Marfa, une petite ville du désert texan, les déchets ramassés dans les rues sont transportés jusqu'à une station de traitement. Ce qui n'est pas recyclable est placé dans des cuves de fermentation appelées "bio-réacteurs". La décomposition des déchets produit ainsi de l'hydrogène qui alimente plusieurs dizaines de totems massifs. Ces derniers abritent des piles à combustibles capables de transformer l’hydrogène en eau et en électricité par une réaction d’électrolyse. L'eau produite est pulvérisée en un épais nuage de vapeur d'eau en suspension, dont chaque gouttelettes devient support de projection. L'électricité alimente, quant à elle, des projecteurs à balayage créant ainsi des hologrammes géants qui flottent dans le nuage. Durant trois jours et trois nuits par an, “le nuage” apparaît, attirant des spectateurs du monde entier venant s’allonger dans le sable du désert pour profiter du spectacle, ou se tenant à distance pour contempler ce nuage tombé du ciel.
[Le projet suivant est théorique, mais repose sur une combinaison de technologies existantes]. À Marfa, une petite ville du désert texan, les déchets ramassés dans les rues sont transportés jusqu'à une station de traitement. Ce qui n'est pas recyclable est placé dans des cuves de fermentation appelées "bio-réacteurs". La décomposition des déchets produit ainsi de l'hydrogène qui alimente plusieurs dizaines de totems massifs. Ces derniers abritent des piles à combustibles capables de transformer l’hydrogène en eau et en électricité par une réaction d’électrolyse. L'eau produite est pulvérisée en un épais nuage de vapeur d'eau en suspension, dont chaque gouttelettes devient support de projection. L'électricité alimente, quant à elle, des projecteurs à balayage créant ainsi des hologrammes géants qui flottent dans le nuage. Durant trois jours et trois nuits par an, “le nuage” apparaît, attirant des spectateurs du monde entier venant s’allonger dans le sable du désert pour profiter du spectacle, ou se tenant à distance pour contempler ce nuage tombé du ciel.





